Considérant, d’une part, que la gauche est décrédibilisée et que, d’autre part, le Front National est encore confronté au « plafond de verre », les électeurs de la primaire de la droite étaient persuadés que celui qui sortirait vainqueur de la compétition sera élu président de la République en mai 2017. Il fallait donc s’assurer d’une candidature acceptable pour le plus grand ...
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